L'ORBE DE LÉGENDES
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Mon Incipit

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Walter
« Walter »

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MessageSujet: Mon Incipit Mon Incipit Icon_t10Sam 18 Juin - 17:10

Je précise que ce texte est... parfois choquant pour certain. Si vous êtes un peu.. sensible il vaut mieux que vous l'évitiez. Sinon, vous allez adorer !

Je précise également que je n'ai pas écris là un texte qui... décrirai un de mes fantasmes. Non non non. C'est plutôt un texte que je range dans la catégorie des essais. J'ai ici tenté d'entrer dans la tête de quelqu'un et de jouer avec la difficulté de représenter quelque chose de "sale". Donc voilà. J'inaugure cette nouvelle section avec... ça.

Bonne lecture à vous...

***

Citation :
Mon Incipit



"Lequel de vos souvenirs est le plus important ? Lequel, parmi toutes les rapides images qui, un instant, peuvent traverser votre esprit, devrait être analysé, revécu et même changé ? Lequel aurait pu avoir, aussi insignifiant puisse-t-il sembler, changer du tout au tout la personne que vous étiez, afin de devenir celle qui, en ce moment même, tient ce parchemin entre ses mains ? Et, surtout, est-ce qu'un tel élément de votre vie, de ceux dont l'impact marque au fer rouge absolument tout le cours de votre existence, ne s'est pas malencontreusement perdu au milieu d'autres idioties du temps, dans le dédale sinueux de vos pensées ?
Oui ? Non ? Mais est-ce que ce dit-souvenir, cette graine féconde de vos actes et de vos pensées, est suffisamment honteuse, répugnante et fondamentalement mauvaise pour que vous tentiez corps et âme de l'ignorer, la cacher, l'oublier même, au plus profond de vous ? Si oui, cela me rassure et m'offre la chance de vous donner la satisfaction que je désirais, mais n'eut jamais, de savoir que vous n'êtes pas le seul. Sachez, en effet, que j'ai ce profond et si étrange secret.
Mais laissez-moi tenter de me libérer au possible, car son oubli, je le sais bien maintenant, est impossible, de ce maigre et pourtant si important souvenir sur ces parchemins délabrés Vous ne lirez là que mon âme salie, véritable et privée de tout artifice.

Tout d'abord, je devais avoir dix ans, peut-être moins. Mes parents, je me le remémore précisément, m'avaient offert un chat. Je manquais de sociabilité, disaient-ils, et à défaut de régler ce détail peu alarmant, ils me permirent de découvrir un nouveau lien. En effet, ce chat devint rapidement mon compagnon principal. Nous étions constamment ensemble et lorsque je lui parlais, il semblait me comprendre, m'écouter avec attention. Je lui avais moi-même donné un nom mais aujourd'hui, malheureusement, ce dernier m'échappe. Nous nous entendions à merveille, lui me suivant partout, moi l'emmenant partout. Seule l'obligatoire messe fixait une triste heure de solitude dans nos cœurs. Mais durant ces courtes séparations, bien trop longues pour moi, il m'attendait devant la porte en miaulant impatiemment mon retour. Et nos retrouvailles se déroulaient dans la joie et le sourire. Je ne crois pas avoir vu, par la suite, de lien aussi fort que le nôtre. Je l'aimais profondément. Aucun autre être que lui ne s’était jamais autant lié à moi, et jamais je me fus autant lié à un autre être. Nous ne formions qu’un. Un amour étrange qui, dans ma vie, ne se reproduisit jamais. Il était rare et certainement unique.
Je me permets ici de tenter au mieux de vous décrire ce lien, en laissant de côté quelques instants le souvenir qui nous intéresse, afin que, peut-être, vous compreniez mieux ce que, moi-même, n'ai pas encore discerné. Mais ceci fait, je me mets immédiatement à la description du dit-souvenir.
Le fameux et si important jour, donc, devait se dérouler durant la période d'été. Je me souviens clairement de la sueur chaude qui gouttait le long de mes joues rondelettes. Et pour vous situer au mieux, le soleil de plomb s'était couché depuis longtemps, laissant les rayons argentés se faufiler faiblement par les vitres de ma chambre. Peu suffisant pour mes yeux enfantins, j'avais déposé une bougie sur la table de chevet à ma gauche. Je vois étrangement avec une précision exacte chaque détail de cet odieux souvenir comme si mon âme voulait que je la revive avec réalisme.
La flamme de la chandelle dansait doucement dans le léger courant d'air infiltré par les rainures de la fenêtre peu isolée. Elle projetait mon imposante ombre sur le mur opposé en un ballet inquiétant et funèbre. Elle seule, déjà, semblait présager l'abominable acte, comme si son accord m'était délivré, qu'elle soutenait et même aidait à son accomplissement.
Alors mon ombre gigantesque se pencha sur l'arme de mon père. C'était un couteau, un fin et simple couteau de chasseur bien entretenu. Mais en approchant son regard, on pouvait y remarquer de minuscules restes séchés de tâches rougeâtres de défunts lapins, sangliers ou cerfs. Je le prenais et le serrais autant que possible dans ma petite main tendue par le stress parcourant mon corps dans une impatience excessive. Puis je regardais l'œuvre déjà accomplie.
J'avais, et cela grâce à un vieux marin, utilisé de puissants et indétachables nœuds afin d'empêcher tout échappatoire à mon chat. Il était donc là, au-dessus de mon lit, miaulant, grognant et présageant sans doute, lui aussi, ce qu'il allait se passer, en gesticulant de tout son possible, tortillant son corps agile inutilement, attaché par ses quatre pattes. A ma sueur s'ajouta vite de profondes larmes, de profondes et véritables larmes de tristesse car j'aimais mon chat. A cet instant, il souffrait déjà de l'acte non-accompli et mon empathie, provenant sûrement, du lien qui nous unissait, m'envoyait des flots sauvages d'horribles douleurs sentimentales. Je souffrais avec lui et même plus que lui, car je me savais être l'auteur de ce crime. Je savais ce qu'il subirait, je le savais car j'avais déjà imaginé mainte fois cette scène avec délectation. Je ne pourrais pas le protéger. Et plus mes larmes coulaient, plus montait en moi un énervement inexplicable. Oui j'étais en colère, en colère contre moi-même, en colère parce que je pleurais. J'étais si faible. La contradiction de mes sentiments, le plaisir et la tristesse, en créait un troisième, la rage, comme pour surmonter plus facilement le trouble qu’engendraient les deux premiers.
Alors ma colère, au milieu de mes larmes et de mon sourire, longea mon bras blanc et lui commanda d'agir. Le brillant couteau trancha doucement la fourrure de mon chat et une fine ligne écarlate vint salir sa lame dans un miaulement bien plus rauque que tous les précédents. N'ayant pas une grande habitude du maniement de l'arme, je dus m'y reprendre plusieurs fois avant de découper toute une partie de la chaire sanglante et d'atteindre, enfin, l'os de sa patte avant. Le sang chaud coulait abondamment sur mes doigts et sur les draps blancs de mon lit, tandis que mon tendre chat s’agitait dans tous les sens en miaulant. Je ne pensais pas que cela serait aussi salissant, mais la vue de l'hémoglobine n'ajouta que satisfaction à ma quête. Stoppé par le cubitus et ne sachant comment le traverser, je décidais finalement d'utiliser une manière plus barbare. Je frappais donc l'os avec le tranchant de ma lame, rythmant les secondes au son de la percussion engendrée. Finalement, la moelle passée, l'os tomba et le reste de la chaire se sépara facilement. Mon chat gesticulait à n’en plus finir. Il miaulait sans fin, et semblait m’implorer, me supplier de tout stopper. Une larme coula et j’esquissai un sourire. La première, et sans doute, plus difficile partie de ma mission était accomplie. Je souriais bêtement, des larmes de chagrin traversant mon visage, en admirant mon tant chéri animal secouer une patte inexistante en tapissant de rouge les draps, dans une scène si macabre et tellement jouissive. Encore aujourd'hui, je souris en l'écrivant.
Ma tristesse, un instant disparue, reprit le dessus quand, au travers de tout ce mal délectable, l'amour profond qui nous unissait, ressurgit. Je revoyais les nombreux instants passés ensemble, lorsque je le serrais tendrement dans mes bras, que je lui racontais des histoires, jouais avec lui, l'incorporais à mes mondes imaginaires. Je remémorais lorsque je le vis pour la première fois, chez moi. Mes parents nous regardaient tendrement, fiers d’eux. Et mon chat qui immédiatement était venu se frotter contre ma jambe…


La seconde partie de ma tâche débuta donc dans les larmes et sans plus plaisir aucun. Je continuais en découpant la patte arrière gauche, cette fois plus proprement, avec plus de vivacité. L'os se déroba rapidement sous l'arme. Mes mains, elles, glissaient sur le manche tant le sang dégoulinant les recouvrait. Et à cette remarque étrange, la vague de chagrin s'échoua pour être succédée par celle du plaisir sadique. A cet instant, une soif de sang se déversa dans l'ensemble de mon petit corps d'enfant. J'approchais du mal, le vrai, le pur, l'intense mal. Ici, j'accomplissais l'acte le plus impardonnable, le plus fondamentalement maléfique, celui qui ne possédait aucune raison sensée, même minime. C'était sanglant, atroce, peut-être la première fois depuis des temps immémoriaux. C'était un crime commis sur un animal chétif, adorable, et aimé, par un enfant innocent qui lui-même était lié d'un amour profond avec sa victime, d'un lien rare et indiscutable. Le mal pur était bientôt accompli.
Je tailladais alors sans précision et tremblotant dans la chaire meurtrie de mon chat agonisant, éclaboussant sauvagement mes habits et les murs, de l'écarlate liquide. Je donnais de vif coup en évitant au possible que l'un d'eux ne l'achève, afin d’épancher ma soif de violence. Et enfin, je déposais ma lame rouge, reprenant mon souffle, et constatant fièrement ce que j'avais réalisé. Mon chat, maintenant, retenu par deux pattes, essayait, mais avec moins de vivacité et de cris, d'échapper à son funèbre destin. Il se tournait et se retournait par à-coup, semblant reprendre sa respiration après chaque mouvement, tordant ses membres, parfois dans des positions que l'on croirait impossible, soumis à des espoirs vains de s'en sortir. Un afflux de sang encore important s'écoulait des nombreuses plaies et des pattes arrachées. La chandelle insouciante dessinait sur la pierre froide du mur une forme indécise, comme si un monstre répugnant se démembrait. Il se savait perdu, mais il luttait, il luttait contre ce mal incompréhensible et sauvage.
Alors je le détachais lentement tout en câlinant tendrement son pelage sanglant et lui murmurant de douces paroles réconfortantes. Peut-être pour me faire pardonner auprès de lui, peut-être pour pratiquer une dernière tendresse. A peine libéré, il s’échappa à mes caresses et chuta lamentablement du lit. Il essaya de se relever du sol froid mais les humiliations faites précédemment ne lui permettaient plus grand chose. Les issues étaient fermées, j'en avais pris soin et il se battait inutilement pour sa maigre vie.

Il était temps de terminer mon glorieux et amusant travail…

Je l'attrapais rapidement par je ne sais où, cela à peu d'importance, et je me rendis au fond du jardin. Là-bas j'avais, un peu plus tôt, creusé un trou de diamètre minuscule mais de profondeur béante. Ainsi j'y jetais l'animal qui ainsi torturé ne pourrait plus en sortir, épuisé et souffrant. Enfin, je le recouvrais de terre, rebouchant le trou profond, enterrant par la même, une preuve de mon abominable acte. Quelques minutes encore, il remua, gratta, poussant parfois quelques faibles miaulements étouffés mais finalement se tut, sans doute décédé dans l'agonie.
Je l'avais enfin fait. Mon rêve, car déjà depuis longtemps je le désirais, était accompli, l'acte pur et simple de méchanceté sadique. Et cela pour une raison qui, encore aujourd'hui, m'échappe. Étrangement, je ne regrette rien. J'avais dix ans et avais réalisé un crime atroce et sanguinolent dans la joie et le plaisir. Pourquoi ? Comment ai-je pu ? Je ne sais pas. J'avais pensé à une punition. Je m’étais peut-être flagellé moi-même d'un acte plus antérieur et malheureusement oublié, d'un acte que je ne me pardonnais pas. Mais je me contente de la simple explication d'un défaut psychologique, un hasardeux dérèglement que je ne dois qu'à ma naissance.
Bien sûr, revenant dans la chambre rouge, dans la salle du destin, de mon destin, la vérité et la raison me frappèrent. Du haut de mes dix ans, je savais que cela ne serait pas impuni. Je savais que maintenant il ne me restait plus qu'une solution ou la mort. Je devais fuir. Fuir pour me protéger et fuir pour protéger autrui. Pour le premier, il me suffisait de partir. Prendre quelques affaires et tenter ma chance ailleurs. Chose dangereuse mais bien plus acceptable que rester ici. Mais pour le second ? Comment devais-je faire pour éviter que cette soif incontrôlable ne remonte ? C'était un mal, un mal profond et sauvage. Rien ne m’assurait que cette fois serait la seule et l’unique. Je devais le combattre, combattre le mal. Et à cette idée, je revis immédiatement les messes. Là, on m'apprenait et me louait Dieu, combattant du mal, infiniment bon. Il saurait me protéger, m'aider. Je devais suivre un apprentissage de prêtre et je travaillerai autant que possible pour atteindre le sommet du Bien, et ainsi, peut-être, estomper voire supprimer mes dangereux penchants. Je serai prêtre.
Mon destin était scellé... »







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Antheah
« Antheah »


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MessageSujet: Re: Mon Incipit Mon Incipit Icon_t10Sam 18 Juin - 18:04

Qu'est ce que je l'aime ce texte \o/
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Le Duc
« Le Duc »


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MessageSujet: Re: Mon Incipit Mon Incipit Icon_t10Sam 18 Juin - 21:38

Je me suis arrêté précisément juste après que le sang chaud coule sur les doigts du narrateur. Quel drôle d'objectif a atteint ton style d'écriture... Tu décris tellement bien et avec un agréable fluide, que ça en devient carrément insupportable à lire.

Oui, la forme est excellente, tandis qu'elle décrit un fond dégueulasse. Bravo, c'est une prouesse littéraire, c'est pourquoi je me suis attardé à laisser une réponse.
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Erwan
« Erwan »


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MessageSujet: Re: Mon Incipit Mon Incipit Icon_t10Sam 18 Juin - 21:55

Pour ma part je me suis forcé à aller jusqu'au bout, et comme je te l'ai déjà dit j'ai eu du mal. C'est incroyablement bien écrit et incroyablement ignoble. Je serais incapable de le relire une seconde fois, bravo Walter x_x !

Ps : Oui désolé de l'EDIT, j'avais écrit capable au lieu d'incapable...


Dernière édition par Sylan le Sam 18 Juin - 21:56, édité 2 fois
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Walter
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MessageSujet: Re: Mon Incipit Mon Incipit Icon_t10Sam 18 Juin - 21:56

Merci.. C'est mignon ! in love

Vos deux commentaires. Celui d'Antheah.. je répondrai simplement qu'elle est folle.
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Antheah
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MessageSujet: Re: Mon Incipit Mon Incipit Icon_t10Sam 18 Juin - 22:34

Je ne suis pas folle! J'aime ce genre de récit, surtout quand c'est aussi joliment décrit. Je l'ai déjà lu, mais le re-lire m'a fais réaliser que t'écris vraiment bien :D
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Super
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MessageSujet: Re: Mon Incipit Mon Incipit Icon_t10Dim 19 Juin - 11:32

En fait ODL, c'est un peu comme un générateur à talent universel.
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Walter
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MessageSujet: Re: Mon Incipit Mon Incipit Icon_t10Dim 19 Juin - 21:20

Hé bien.. Merci encore ^^ Ça me gêne... *rougit*
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Evelynn
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MessageSujet: Re: Mon Incipit Mon Incipit Icon_t10Dim 19 Juin - 23:21

hé béh j'en suis bouche bée ! Ce texte mériterait sa place dans un ouvrage !
(n'y voit auucune mauvaise foi de ma part O grand écrivain mais le mot "chair" ne prend pas de e, car oui, la chaire c'est une chaise !! ((pourquoi soulever ça ? j'adore juste ce mot !))
mais franchement dans son genre c'est de toute beauté, tu n'en aurais pas d'autres ? Meaw !
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Walter
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MessageSujet: Re: Mon Incipit Mon Incipit Icon_t10Lun 20 Juin - 0:17

Hé bien non désolé.. Pas autant travailler et aucun autre de ce style là.

Et merci pour la faute, il faudra que je corrige ^^
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« Jack Nelon »


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MessageSujet: Re: Mon Incipit Mon Incipit Icon_t10Jeu 23 Juin - 17:27

Il est fou! FOU! Aaaah!


Plus sérieusement: Tu fais vraiment peur Walt'. Vraiment.
J'suis sûr que ce que tu as écris, tu l'as fait à ton chat. Pauvre bête..
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Walter
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MessageSujet: Re: Mon Incipit Mon Incipit Icon_t10Jeu 23 Juin - 18:38

J'ai jamais eu d'animaux en fait...
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Antheah
« Antheah »


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MessageSujet: Re: Mon Incipit Mon Incipit Icon_t10Jeu 23 Juin - 20:41

Il est incapable de s'occuper d'animaux, trop radin pour leur acheter de la bouffe. ^^' Mais non, en vrai, il est doux comme un agneau. Quoique un peu fou, des fois...(tout le temps). Il f'rai pas de mal à une mouche, sauf si cette dernière est vraiment méchante, ce qui est peu commun, pour une mouche.

Il a juste beaaaaaucoup d'imagination et une ouverture d'esprit conséquente.
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Walter
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MessageSujet: Re: Mon Incipit Mon Incipit Icon_t10Ven 24 Juin - 8:28

Je ne relèverai pas. Mais tu mets en doute ma capacité à être méchant et je n'aime pas ça. Pour la peine tu rentreras seule Lundi.
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Antheah
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MessageSujet: Re: Mon Incipit Mon Incipit Icon_t10Ven 24 Juin - 9:09

T'a pas le droit de me faire ça.
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MessageSujet: Re: Mon Incipit Mon Incipit Icon_t10

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